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mes image (31/08 14:53)
Je viens ici pour l'amitié tout simplement et surtout pas pour la guerre des blogs. Non plus pour des imbéciles qui te font croire qui sont des amis sincères et sans pudeur te salissent derrière ton dos comme certains. J'ai construis un blog pour l'amitié sincère et durable pour les bons et les mauvais moments de la vie de chacun et sans hypocrisie. Je suis là tout simplement pour aimer et être aimée…Mon amitié est sincère. Je suis une femme qui n'aime pas les guerres sur les blogs ni les embrouille et je ne veux pas que l'on m'en procure. Ceux qui viennent pour poser des problèmes sans les avertir je les exclu de mon univers sans détour et sans pitié. Je voudrai aussi éviter les chaines, sauf évidemment les articles à faire suivre pour les malades. °*°*Ce sont mes amis qui m'ont fait aimer la vie. Ils me rendent meilleur à mesure que je les trouve meilleurs eux-mêmes... °*°* Amour...Amitié…Fraternité…Partage Merci à vous et bonne visite, merci de votre compréhension, Barbara…

SI TU ES UNE VRAIE AMIE TU PEUX FAIRE CELA: UNE PERSONNE HANDICAPEE N'EST PAS CONTAGIEUSE ELLE DEMANDE JUSTE QU'ON L'ACCEPTE TELLE QU'ELLE EST DANS LA SOCIETE. 97%DES PERSONNES NE COPIERONT PAS CETTE ANNONCE ET NE L'UTILISERONT PAS COMME STATUT, SERAS TU COMME MOI L'UNE DES 3% A AFFICHER CE STATUT AU MOINS PENDANT 1HEURE SUR TON BLOG OU SUR TON PROFIL
Samira et Barbara amies pour la vie...











































































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le braisier du coeur
28/09/2005 22:50
Braises qui sintillent à la lueur du jour Paraissant aussi frèle que l'est ton amour Tu regardes, tu écrits, mais jamais ne souris Tu avoues m'aimer, mais jamais ne le dit
J'envoie des s.o.s à mon esprit ardent Tente d'éteindre les flammes de mes sentiments Me prenant à tout jeu, essayant même de feindre Mais mes efforts sont vains, elle ne veulent pas s'éteindre
Les larmes brulantes jaillissant des mes yeux La chaleur débordante de nos moment heureux Je cherche à gommer le moindre souvenir Mais rien n'y fait, tu ne veux pas partir
Et c'est à cette lueur que je brule mes poèmes C'est devant cette aurore que j'avoue que je t'aime Jamais je n'éteindrai le feu qui règne en moi Ce feu qui toujours, n'a brûlé que pour toi.
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Secret d'une nuit d'été
28/09/2005 22:34
Aux creux de ses pensées trempe ma plume d'argent. L'encrier de son crane a fourni mon feu sang, J'ai dévoilé un pan de ma cape sourdine Pour qu'elle puisse admirer l'éphèbe aux phrases fines.
Si le silence est d'or il s'écorche à tes mots Et à tous mes accords mes sens trouvent en échos Tes aveux de mâle au sensible exacerbé Qui se détend, s'étale, en élans perturbés
Révolte et sagesse s'élèvent dans tes maux Je récolte l'ivresse apportée par nos mots Union de deux ages proches dans l'illusion Chacun dans ses pages combat à l'unisson
Pour certains l'empathie n'est qu'illusion malade Mélant en utopies nos rêves de façade Un éternel chaos pour qui ne l'a vécu Mais toi en maestro tu l'as créée j'ai su !
Et l'un après l'autre, avons levé nos loups, Toi, en versant ces lettres graves aux sanglots fous Moi, en pleurant mes phrases simples au reflet flou Et l'un après l'autre, avons parlé de nous...
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Agonie
28/09/2005 22:28
Société sans aucun contour, plus de pitié Massacre à volonté de notre pensée Dernier fragile rempart de notre liberté Affolés, J’allonge le pas, marche forcée.
Je m’enfonce dans la profondeur du crépuscule De la lune je vois sa tremblante clarté Et le reflet de mon corps, une image troublée Ce sont mes doutes, celui d’un noctambule.
D’une agonie qui lentement se dessine, Je sens l’ombre du renoncement arrivé, Vastes enclos des mes sentiments carbonés.
Tristesse secrète de mon âme esseulée Je prends mon envol, mon heure va bientôt sonner Je deviendrais l’égal du temps, j’imagine
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In Déserts.
28/09/2005 20:00
Annonce-leur
que l’eau doit être partagée
Entre eux et la chamelle
Et qu’il appartient à chacun
De boire à son tour.
Annonce-leur
Que l’eau doit être bue
Par plusieurs soifs
La plus grande et la plus petite.
Ne mesure pas
La bonté de l’eau
A l’ampleur de ta cruche.
La part promise
La part permise
A chacun
C’est celle que peut contenir
Le creux de ses mains.
Annonce-leur encore
Que l’eau n’est vive
Que pour ceux qui ont soif.
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